En ce moment sur Facebook,
chaque jour,
un lot à remporter !
Les livres de niveau 4 mélangent toutes les difficultés abordées dans les niveaux 2 et 3 :
Seules les lettres muettes sont encore grisées.
Milo et Zoé passent des vacances à la montagne. Ils ont un peu de temps avant leur cours de ski et décident d’aller explorer la forêt en hiver. Mais attention, il ne faudrait pas être en retard pour le premier cours !
Toute la famille passe la soirée à la fête des étoiles. L’occasion d’observer au télescope, de regarder des maquettes du système solaire …
Nos amis retournent à l’école et découvrent leur nouvelle classe de CE1 … Une classe flexible ! Milo a hâte de sympathiser avec les triplés, Hanaé, Martin et Gabin. Hanaé est sourde, une AVS l’aide dans son travail à l’école.
Milo et sa famille rejoignent leurs amis en Australie. Ensemble, ils vont prendre soin des kangourous de la ferme. Milo parviendra t-il à apercevoir Spik, le kangourou préféré de son ami Zakary ?
Les livres de niveau 3 abordent les digrammes (deux lettres qui forment un nouveau son quand elles sont placées l’une à côté de l’autre : an, ch …). Cette nouveauté est mise en évidence visuellement en vert dans les livres, qui ne contiennent aucune autre difficulté. Chaque histoire présente un nouveau digramme.
Ce livre contient deux histoires.
Nouveautés abordées : digramme ch/digramme ou
Histoire 1 : Milo passe quelques jours à la ferme chez sa tante. La poule a disparu, va-t-il la retrouver ?
Histoire 2 : Milo adore l’équitation, mais ce jour-là, il chute. Comment va-t-il réagir ?
Nouveauté abordée : digramme on
Tonton a eu une idée géniale : il offre à toute la famille un baptême de montgolfière. Qui osera y monter pour admirer le paysage depuis le ciel ?
Nouveauté abordée : digramme in
Alix passe Noël en Inde, chez son amie Bala. Pas facile pour elle d’être séparée de ses proches. Comment va-t-elle fêter la fin de l’année loin de sa famille ?
Nouveauté abordée : digramme oi
Ce soir, c’est la parade de Noël. Matis est tout excité ! Quelle chance de voir le spectacle depuis le toit du théâtre : la vue est magnifique !
Nouveauté abordée : digramme gn
Rémi part à la fête de la vigne avec son Papa. Comment la journée va-t-elle se passer ? Va t-il y retrouver ses amis pour s’amuser ?
Nouveauté abordée : digramme an
Matis et Alix sont en vacances avec leur papa. Ils décident de louer un pédalo et de partir à l’aventure !
Nouveauté abordée : digramme ai
Milo a reçu du courrier. Abigail, sa correspondante américaine, lui raconte sa passion pour les animaux. Milo aime-t-il aussi la nature ?
Nos amis partent cette fois en classe de neige avec leur maître. Une occasion pour vos enfants de lire du niveau 3+ : les digrammes vus en niveau 3 y sont brassés et ne sont plus colorés. Il est donc indispensable que l’enfant maîtrise la lecture de tous les digrammes (ou, an, ch, oi, on, gn, ai, in) avant de le dévorer.
Les livres de niveau sont écrits avec des mots simples (une lettre = un son) et abordent une nouveauté à la fois. Ils contiennent deux histoires courtes ou une histoire longue.
Selon les livres, la nouveauté sera :
Dans ces livres, la nouveauté est notée en rouge. Les mots outils sont surlignés.
Ce livre contient deux histoires.
Nouveautés abordées : e qui fait è entre deux consonnes/groupes de deux consonnes
Histoire 1 : La classe de Matis est partie en voyage. Matis était malade, il n’a pas pu participer. Il regarde la vidéo du voyage avec son papa. Que s’est-il passé durant cette expédition ?
Histoire 2 : Papi est allé au marché. Mais qu’a-t-il acheté ? Quels fruits et légumes trouve-t-on encore en automne ?
Nouveauté abordée : mots outils au, c’est, en, chez
Zoé lit un magazine à son Papa. Les enfants vont-ils à l’école dans les autres pays du monde ? Que mangent les enfants à midi ?
Une double page permet de situer les personnages du livre et les pays sur un planisphère aux couleurs de la pédagogie Montessori.
Nouveauté abordée : mots outils un, dans, avec, et
Milo et Rémi partent terminer une cabane dans la forêt. Que va-t-il leur arriver ? Comment vont-ils décorer la cabane ?
Nouveauté abordée : e qui fait è devant la double consonne t
Zoé et Milo jouent dans la forêt. Que vont-ils bien pouvoir préparer dans la cuisine de la cabane ?
Nouveauté abordée : mots outils où, ou, est, les, des
Amir et Matis sont en colonie. Au programme du jour : sortie au zoo. Quels animaux vont-ils pouvoir observer ?
Nouveauté abordée : groupes de deux consonnes
Tous nos amis s’affrontent sur un terrain de foot. Qui va remporter la victoire ?
Nouveauté abordée : e qui fait è
devant les consonnes doubles mélangées (ell, err, ess, enn, ett …)
Zoé part en pique-nique à dos d’ânesse avec son Papa. Tout se passe à merveille, jusqu’à ce que l’orage arrive …
Les livres de niveau 1 sont écrits avec des mots simples (une lettre = un son). Les lettres muettes sont grisées. Chaque livre comporte deux histoires courtes.
Histoire 1 : Noé le coq a volé l’épi de blé de Paco le canari. En plus de ça, il a sali la moto du Papa de Matis ! Que va faire Matis ?
Histoire 2 : Alix se prépare pour aller à la fête de Lola, mais son papa renverse son café sur sa jupe … Comment va-t-elle réagir ?
Histoire 1 : Rémi invite ses amis pour le carnaval. Comment vont-ils être déguisés ?
Histoire 2 : Milo regarde un opéra à la télé. Quels instruments va-t-il reconnaître ?
Histoire 1 : Le bébé de tata Lila renverse du soda sur le canapé. Comment va-t-il réagir ?
Histoire 2 : Milo rêve d’avoir un vélo. Son rêve va-t-il se réaliser ?
Histoire 1 : Timéo ouvre une malle qui contient des photos. Il raconte à Timéo comment ses souvenirs de sa vie à Dakar.
Histoire 2 : Rémi a apporté des figurines d’animaux à l’école. A l’aide de Timéo, il classe les figurines. Quels sont les animaux qui ne vivent pas à Dakar ?
Nos amis partent en sortie nature. Quels animaux vont-ils pouvoir observer ?
Milo est malade, Mamina prend soin de lui.
A l’occasion de la coupe du monde, nous mettons en ligne une histoire destinée à nos jeunes lecteurs, sur le thème du foot, ainsi qu’une série de cartes à pinces.
Imprimez l’histoire « Matis adore la coupe du monde » disponible en téléchargement libre sur le blog. Proposez à vos enfants de réaliser une illustration à partir de l’histoire et envoyez-nous le dessin à l’adresse postale suivante :
Anaïs Galon
34 boucle des Roseaux
57 100 Thionville
Les dessins de vos enfants seront scannés et mis en ligne sur la page facebook des livres dans l’album dédié « Concours coupe du monde ».
2 gagnants seront tirés au sort parmi les participants le 15 juillet (jour de finale de la coupe du monde), ils pourront choisir l’exemplaire de leur choix (Vive l’été ou La colonie).
Bonne chance à tous !
Aujourd’hui, nous laissons la parole à Dorine Derennes-Pinier, éducatrice Montessori qui a créé une structure qui accueille des enfants de 2,5 à 6 ans dans la région Rhône Isère après avoir été professeur des écoles pendant plusieurs années. Elle a partagé un point de vue détaillé sur la page Facebook de sa structure, point de vue que nous relayons ici.
LIVRES POUR LECTEURS DÉBUTANTS
« Quand mes petits élèves ont commencé à devenir lecteurs, j’ai cherché des livres à leur portée, qui soient adaptés à leurs compétences.
J’ai essayé plusieurs collections. J’ai toujours choisi le niveau 1 (débutant), mais à chaque fois les enfants se trouvaient face à de trop grandes difficultés. On pouvait par exemple trouver des mots comme « et », ou « est », impossibles à lire pour le lecteur qui en est encore au stade de la lecture phonétique. De plus, pour un enfant ayant appris en cursive, ces livres étaient souvent en script.
Puis sont arrivés à ce moment-là les livres de la collection «Mes premières lectures Montessori».
Le travail fourni par les auteures est vraiment sérieux.
La progression a été pensée de façon très précise :
1- lecture phonétique,
2- groupes de consonnes et premiers mots outils
3- digrammes
4- regroupement des difficultés du niveau 2 et 3
5- homophonies (o, au, eau, …)
Chacun de ces niveaux est indiqué par des étoiles dans le coin en haut à gauche. Les enfants repèrent très bien ces étoiles et reconnaissent les livres à leur portée. Cette progression est strictement respectée dans chaque histoire. On achète donc en toute confiance.
Chaque histoire isole une difficulté, laquelle est codifiée. Les lettres muettes grisées, la difficulté de l’histoire en rouge, les digrammes en vert, les mots outils en jaune… Et non cela ne donne pas des pages multicolores dans lesquelles l’enfant se perd ! Voyez vous-même sur les photos.
En gros, il n’y a pas de piège, tout ce qu’il faut pour que le lecteur prenne confiance en lui et progresse.
Une préface explique globalement comment utiliser ces livres. Je trouve juste dommage qu’un petit mot n’ait pas été glissé sur les mots outils ou les digrammes afin d’expliquer au novice comment procéder et que faire en amont de la première lecture.
La police d’écriture, « Dumont Maternelle », me semble très adaptée car très lisible. En plus nous pratiquons la méthode Dumont ici, ce qui rend la chose doublement intéressante.
Les illustrations sont placées comme des supports à la lecture et sont très fraîches. De même sur la couverture, même si je trouve dommage que cette dernière soit surchargée d’infos qui ne concernent pas l’enfant (En haut : « mes premières lectures Montessori, des histoires à lire seul », en bas « conçu par une orthophoniste et des éducatrices Montessori ». « Mes premières lectures Montessori » est à nouveau écrit verticalement.). Tout cela peut inciter l’enfant à bloquer sur des phrases qu’il voudra absolument lire mais ne pourra pas (« orthophoniste » !!).
A la fin du livre, il est possible de découper un lot d’étiquettes-mots et images à mettre en paire : de quoi travailler les mots en amont et aider encore plus le petit lecteur. J’ai agrafé une petite pochette en papier à la fin de chaque livre mais vous pouvez en trouver une mieux sur le site compagnon. Ces étiquettes sont d’une aide phénoménale et une idée brillante.
Globalement, les enfants apprécient réellement ces livres, ils sont un réel soulagement pour moi de pouvoir offrir des lectures adaptées à ces enfants qui lisent TOUT, TOUT LE TEMPS.
Si vous n’avez pas encore sauté le pas, pensez-y, c’est pour moi la collection de référence parmi toutes les collections testées. D’autres livres sont encore à paraître, et en plus vu leur tout petit prix il est assez simple de se procurer toute la collection. Bref je recommande ++ et ici on est fan! »
Aujourd’hui, nous laissons la parole à Valérie Maestre, éducatrice et formatrice Montessori. Elle est notamment l’auteur de « Compter de 0 à 10 » dont j’avais parlé dans cet article. Voici sa page Facebook, pour suivre son actualité. Valérie est très connue du milieu montessorien car elle co-administre depuis de nombreuses années deux groupes de partage autour de la pédagogie Montessori :
» Alors voilà, Anaïs et moi, on se croisait depuis des années, et maintenant on ne se croise plus, on papote quasi tous les jours :-). Pour autant, si j’écris ce petit article, ce n’est pas parce que nous sommes amies, mais bien parce que ces petits livrets correspondent à un besoin fort dans la communauté francophone Montessori, et ce depuis des années.
Lire la suite « Nos livres « Mes premières lectures » détaillés par Valérie Maestre »
Comme beaucoup d’entre vous le savent, nous avons récemment publié une collection de livres aux éditions Larousse intitulée « Mes premières lectures Montessori ». Parmi les nombreux retours que nous avons eus ainsi que les commentaires que nous avons pu lire, une question revient souvent :
Pourquoi proposer des histoires en écriture cursive et non en script ?
Il est vrai que quasiment 100 % des livres que nous sommes amenés à lire au cours de notre vie sont écrits en script. Or les livres « Mes premières lectures Montessori » sont destinés aux lecteurs débutants. Et c’est bien sur cette affirmation que se base tout notre argumentaire : des lecteurs débutants pour qui nous avons voulu lever toute difficulté afin de les introduire individuellement. Ainsi cette collection constitue un véritable outil progressif visant à amener le lecteur en herbe vers une lecture et une compréhension fluides.
Nous, les auteurs, avons déjà expliqué partiellement notre choix du cursif dans l’introduction des livres mais il nous semblait opportun de répondre plus en profondeur à cette question.
En pédagogie Montessori, l’acte de lire découle de l’acte d’écrire. Et le tout se passe en écriture cursive, tout du moins au début, comme le préconise Maria Montessori. Voici deux citations tirées de ses ouvrages :
Ecrire se définit sous deux formes :
L’apprentissage de ces deux formes d’écriture se fait, en pédagogie Montessori, en parallèle. Cet apprentissage de l’écriture précède la lecture. En d’autres termes l’enfant apprend d’abord à coder (écrire) avant de se lancer spontanément, quand il est prêt, dans la lecture. On transmet donc au préalable à l’enfant le code avec, entre autres :
On effectue donc tout ce travail préalable afin d’amener l’enfant à être en mesure de coder la majorité des mots qu’il entend à l’aide d’un alphabet mobile. Le but est bien que l’enfant transcrive à l’aide du code qui lui a été transmis ce qu’il entend : des mots, des phrases, parfois des histoires entières, et qu’il soit autonome dans son exploration de l’écriture. A ce stade, bien que capable de coder, l’enfant n’en est pas pour autant encore entré dans la lecture.
L’alphabet mobile est utilisé comme une béquille avant que la main ne se soit entraînée au geste graphique. L’écriture manuscrite prendra plus tard le relais et permettra à l’enfant d’écrire sur du papier.
Au début, le code est donc unique : il s’agit de lettres cursives, choisies car elles correspondent à l’acte d’écrire. Nous écrivons sur le papier grâce à des lettres cursives. De plus, le jeune enfant trace beaucoup plus facilement sur le papier des cercles et des boucles liées entre elles que des petits bâtons horizontaux, verticaux ou obliques utilisés dans le script. Ce n’est bien que plus tard, à l’adolescence, que nous personnalisons notre écriture.
Pourquoi donc faire intégrer à l’enfant un code graphique dont il n’aura pas besoin (tout du moins dans un premier temps) pour mettre sa pensée par écrit ?
Une fois que l’enfant aura beaucoup codé (des mots, des phrases) grâce à l’utilisation d’un alphabet mobile en cursive, il relira spontanément ses premières productions. Il lira donc l’écriture cursive car il aura écrit à l’aide de l’alphabet mobile en cursif. C’est d’ailleurs le moment où on l’exercera à la lecture de mots de manière intensive. Il s’agit de mots écrits à la main par l’adulte sur des petits billets qu’on lui tend afin qu’il découvre de quoi on veut lui parler. Encore une fois, ces mots sont écrits en cursive, car ils sont le résultat d’une écriture manuscrite de l’adulte.
Existe-t-il donc, à ce moment, une urgence à mettre en place un deuxième code
(le script), sous prétexte qu’il est utilisé dans les livres ?
Non, évidemment ! L’enfant n’en est pas là. Il va passer beaucoup de temps à s’exercer à lire des mots puis des phrases, le tout écrit en cursive par la main de l’adulte ou le cas échéant par des textes tapés à l’ordinateur dans une police se rapprochant le plus possible de l’écriture manuscrite, ce qui est le cas de la police cursive Dumont maternelle.
De plus, l’enfant s’exerçant en parallèle au geste graphique en cursive, le matériel de lecture mis à disposition constitue pour lui un modèle dans lequel il perçoit le mouvement qu’il devra effectuer pour reproduire l’écriture manuscrite.
Une fois que l’enfant aura lu bon nombre de ses productions écrites en cursive, qu’il aura écrit en cursive à la main, qu’il aura travaillé la lecture en cursive à travers la grammaire, le vocabulaire classifié, et qu’il aura lu ses premières histoires en cursive, alors, tout naturellement, il pourra lire dans toutes les écritures : son cerveau aura établit les correspondances seul sans même qu’il n’ait eu à les travailler.
On sait désormais que le fait d’apprendre la lecture en écriture scripte alors que l’on apprend à écrire aux enfants en cursif est à l’origine :
Ces problèmes viennent du fait que, pour apprendre à lire, notre cerveau recycle des neurones qui n’avaient pas été prévus à l’origine pour permettre à l’humain de lire. Pour ça, le cerveau utilise les neurones de la zone de reconnaissance des visages. . Cette zone existe dès la naissance. Elle permet de reconnaître une personne quel que soit le point de vue. La zone dédiée à la lecture va « s’installer » dans cette zone cérébrale de reconnaissance des visages en procédant à une modification des circuits. On continue quand même à reconnaître des visages avec cette zone qui ne disparaît pas !
C’est la raison pour laquelle on fabrique des difficultés de reconnaissance des lettres en script quand on demande trop tôt à l’enfant de discriminer les b ou les p… son cerveau à lui en étant toujours à considérer tous les points de vue d’une personne comme identiques. Il faut donc laisser le temps au cerveau de l’enfant de mâturer …
Il est donc bien plus simple d’utiliser dans un premier temps l’écriture cursive où cette difficulté de différenciation de l’orientation n’intervient pas. Ces arguments sont avancés par Stanislas Dehaene dans son livre « Les neurones de la lecture » dont il parle ici dans une de ses conférences :
L’acte de lire contient deux étapes :
Un des buts de ces livrets est la compréhension autonome qui sera d’autant moins bonne que l’enfant peine à reconnaître les mots à cause des graphies scriptes.
Vous avez donc à présent une explication complète de notre choix d’écriture cursive pour notre collection. Il s’agit bien de toutes premières lectures qui viennent à la suite des premiers billets de lecture manuscrits. L’enfant n’est ainsi pas gêné par un nouveau code et peut concentrer ses efforts sur le déchiffrage. Une fois que la lecture en cursive sera fluide, il parviendra très rapidement, après avoir lu quelques livres en cursive, à lire l’écriture scripte.
Nous avons cependant choisi de maintenir l’écriture cursive pour toute la collection, car elle permet aux enfants dont la lecture est encore fragile de ne pas entraver leur processus, pour autant, elle n’empêche absolument pas les enfants qui y sont prêts de passer au script.
Julie Rinaldi, Anaïs Galon
A la fin de chaque livre, vous trouverez une série d’étiquettes-mots à découper et à conserver. Ces mots sont choisis parmi les histoires et sont écrits avec le même code couleur. Les étiquettes comportent une auto-correction.